À trop écrire, parfois, les mots s’évadent, s’esquissent, s’enfuient. Perdus dans les limbes des obligations (communiqués, communicants, communiquons) ils ne signifient plus que peu. Même plus le plaisir de les utiliser. Ni celui de les faire rouler, sous les doigts, sur le clavier, et même (même !) sur le bout de la langue. Alors il faut […]