Il y a cet édito de Leïla Slimani dans le 1. Il y a cette lettre, belle à en pleurer d’Antoine Leiris. Il y a ce Paris en fête d’Hemingway. Il y a ces mots, partout… Il y a Davide Martello et son piano devant le Bataclan. Il y a « Imagine » fredonnée par une enfant. […]